Addiction aux écrans, où en est-on ?
« Mon ado est addict aux jeux vidéo ! », s’inquiètent régulièrement parents et enseignants. Qu’en est-il réellement de l’addiction aux écrans ? Le point sur la recherche dans ce domaine.
« Mon ado est addict aux jeux vidéo ! », s’inquiètent régulièrement parents et enseignants. Qu’en est-il réellement de l’addiction aux écrans ? Le point sur la recherche dans ce domaine.
La nécrophilie se définit comme une attirance pour le cadavre ou plus largement le mortifère. Les actes de nécrophilie seraient une façon pathologique de faire revivre symboliquement « le mort », en injectant de la libido, de la vie, dans sa dépouille.
Le sommeil du nourrisson est une préoccupation majeure des jeunes parents. Une unité de périnatalité leur propose une « école à dodo », pour les aider à déculpabiliser et instaurer des nuits plus paisibles.
À 24 ans, Maxence est suivi depuis 6 ans en psychiatrie pour un trouble schizo-affectif. Dans une perspective de rétablissement et de réhabilitation, il co-élabore un projet d’intervention personnalisé, structuré, basé sur un accompagnement intensif, à l’écoute de ses besoins.
Au cours de la maladie de Parkinson, les troubles anxio-dépressifs sont fréquents. Dans le cadre d’une rééducation fonctionnelle, un kinésithérapeute développe une approche holistique basée sur la « relation conversationnelle ». Illustration clinique.
Porteur d’espoir, le modèle du rétablissement, voué à « révolutionner » la psychiatrie, devrait s’imposer. Pourtant, sur le terrain, il peine à s’implanter. Ce vade-mecum débusque les « vieux réflexes » soignants qui font obstacle au changement.
Thierry, pris en charge au sein de l’Unité hospitalière spécialement aménagée (Uhsa), utilise le passage à l’acte pour éviter l’effondrement narcissique. Au cours d’un travail psychothérapique, émerge la question du psychotraumatisme.
La psychoéducation a parfois des effets inattendus : en proposant à l’usager de partager des connaissances sur sa maladie, elle peut le priver de son propre point de vue, au risque d’une « décohérence de l’esprit ». De nouvelles psychothérapies centrées sur l’expérience vécue peuvent éviter ce phénomène.
Adèle, 80 ans, est persuadée que ses parents sont vivants ou que sa fille Sophie, qui lui rend visite chaque semaine, ne vient jamais la voir… Faut-il chercher la vérité dans son discours ou l’accompagner dans ses déréalisations pour tisser un lien et alléger sa souffrance ?
Pratique psychothérapeutique inattendue, une activité de plongée sous-marine permet à des patients souffrant de schizophrénie de renouer avec leur corps. Illustration avec Yves, la cinquantaine, qui trouve un étayage puissant dans cet accompagnement.