Le modèle de soin actuel, libéral et autonomiste, fait du patient l’acteur principal de sa prise en charge. Dans ce contexte, le consentement du patient aux soins est la condition indépassable de la licéité du traitement, y compris en psychiatrie. L’auteur présente le cadre législatif général dans lequel s’inscrivent traitement médicamenteux et éducation thérapeutique du patient. En psychiatrie, où les troubles entraînent des moments de crise rendant impossible un temps le consentement éclairé du patient, le soignant doit réfléchir au recueil de ses volontés en amont.
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