Dans le cadre du congrès annuel 2015 de L'Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) s'est tenue une conférence sur la place de la pratique avancée intitulée "L'infirmière clinicienne spécialisée (ICS), une réponse ou un investissement pour la santé et la population québécoise ?"
Plusieurs intervenantes se sont succcédé : Kelley Kilpatrick, Pr de l'Université de Montréal et chercheuse a dressé un bilan de la situation : définition, retombées pour la population, organisation des soins, obstacles et défis à assurer pour la pérennité. Sylvie Dubois, directrice des soins et des regroupements clientèle du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM), Clémence Dallaire, ex-doyenne de la faculté des sciences infirmières de l'université de Laval et Karine Labarre, conseillère cadre au centre d'excellence sur le vieillissement de Québec ont ensuite fait part de leurs préoccupations concernant les tendances, les enjeux et les défis.
C'est au sujet de la pratique infirmière avancée que s'est déroulé l'annuel symposium présenté dans le cadre du congrès de l'OIIQ, le 10 novembre 2015. Étant donné les nombreuses transformations en cours dans le réseau de la santé, il apparaissait opportun de discuter de la place de la pratique infirmière avancée. Le thème discuté cette année était : « L'infirmière clinicienne spécialisée (ICS), une dépense ou un investissement pour la santé de la population québécoise? »
Dans un premier temps, Kelley Kilpatrick, professeure de l'Université de Montréal et chercheuse, est venue dresser un portrait de la situation du rôle d'ICS au Canada : la définition, les retombées de ce rôle pour la population, les équipes de travail et l'organisation de soins, les obstacles à leur introduction et les défis à relever pour en assurer la pérennité.
En deuxième partie, Mme Kilpatrick s'est jointe au panel composé d'infirmières représentant diverses perspectives afin de nous faire part de leurs préoccupations concernant les tendances, les enjeux et les défis du rôle d'ICS. Étaient présentes, Sylvie Dubois, directrice des soins infirmiers et des regroupements clientèles du CHUM, Clémence Dallaire, ex-doyenne de la Faculté des sciences infirmières de l'Université Laval, et Karine Labarre, conseillère cadre au centre d'excellence sur le vieillissement de Québec.
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l'annuel symposium présenté dans le cadre du congrès de l'OIIQ, le 10 novembre 2015. Étant donné les nombreuses transformations en cours dans le réseau de la santé, il apparaissait opportun de discuter de la place de la pratique infirmière avancée. Le thème discuté cette année était : « L'infirmière clinicienne spécialisée (ICS), une dépense ou un investissement pour la santé de la population québécoise? »
Dans un premier temps, Kelley Kilpatrick, professeure de l'Université de Montréal et chercheuse, est venue dresser un portrait de la situation du rôle d'ICS au Canada : la définition, les retombées de ce rôle pour la population, les équipes de travail et l'organisation de soins, les obstacles à leur introduction et les défis à relever pour en assurer la pérennité.
En deuxième partie, Mme Kilpatrick s'est jointe au panel composé d'infirmières représentant diverses perspectives afin de nous faire part de leurs préoccupations concernant les tendances, les enjeux et les défis du rôle d'ICS. Étaient présentes, Sylvie Dubois, directrice des soins infirmiers et des regroupements clientèles du CHUM, Clémence Dallaire, ex-doyenne de la Faculté des sciences infirmières de l'Université Laval, et Karine Labarre, conseillère cadre au centre d'excellence sur le vieillissement de Québec.
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l'annuel symposium présenté dans le cadre du congrès de l'OIIQ, le 10 novembre 2015. Étant donné les nombreuses transformations en cours dans le réseau de la santé, il apparaissait opportun de discuter de la place de la pratique infirmière avancée. Le thème discuté cette année était : « L'infirmière clinicienne spécialisée (ICS), une dépense ou un investissement pour la santé de la population québécoise? »
Dans un premier temps, Kelley Kilpatrick, professeure de l'Université de Montréal et chercheuse, est venue dresser un portrait de la situation du rôle d'ICS au Canada : la définition, les retombées de ce rôle pour la population, les équipes de travail et l'organisation de soins, les obstacles à leur introduction et les défis à relever pour en assurer la pérennité.
En deuxième partie, Mme Kilpatrick s'est jointe au panel composé d'infirmières représentant diverses perspectives afin de nous faire part de leurs préoccupations concernant les tendances, les enjeux et les défis du rôle d'ICS. Étaient présentes, Sylvie Dubois, directrice des soins infirmiers et des regroupements clientèles du CHUM, Clémence Dallaire, ex-doyenne de la Faculté des sciences infirmières de l'Université Laval, et Karine Labarre, conseillère cadre au centre d'excellence sur le vieillissement de Québec.
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