La prise en compte des troubles du sommeil peut-elle aider à améliorer la prévention des conduites suicidaires ? Tour d’horizon de la recherche sur les liens entre ces deux problématiques, et perspectives cliniques.
Les troubles du sommeil, particulièrement les insomnies et les cauchemars, touchent plus de la moitié des enfants et adolescents un an après un traumatisme. Ils constituent un facteur de maintien et de chronicisation des symptômes sur lesquels il est possible d’agir.
La théorie polyvagale apporte un nouvel éclairage dans la compréhension du stress et du trauma. Elle propose une aide clinique dans le monitoring et la régulation de l’état émotionnel
du patient.
Face à un événement traumatique, et après une intervention immédiate d’urgence, il faut proposer des soins post-immédiats aux victimes directes et indirectes, puis, si besoin, engager à plus long terme des thérapies adaptées.
S’appuyant sur un texte qu’il dicte à un jeune infirmier pour le journal du secteur, Hocine, un ancien harki, livre le vécu de son emprisonnement durant la guerre d’Algérie, dans les geôles du Front de libération nationale. Que faire de ce récit ?
Après exposition d’un enfant à un événement d’ordre catastrophique, les professionnels doivent distinguer finement d’éventuels troubles traumatiques d’autres manifestations adaptées et ne pas « céder » aux logiques « victimaires ». Repères cliniques.
5e congrès à La Baule, organisé par l’institut Mimethys Notre congrès 2022, traitait de la sidération et de l’effondrement, abordant la résilience dans une perspective de …
Face à un événement traumatique en milieu professionnel (suicide, agression, catastrophe naturelle…), des interventions psychologiques peuvent soutenir rapidement les salariés, sur le lieu même du travail.
L’Atelier Ressources® propose à des militaires blessés psychiques, une approche de type « coaching positif », pour entamer un parcours de réhabilitation et de réinsertion professionnelle.
Avec un patient traumatisé, le thérapeute se retrouve dans une situation paradoxale où la parole peut être vécue comme angoissante pour le sujet, déchiré entre le désir d’oublier le vécu traumatique et la nécessité de s’exprimer pour être aidé. Repères pour la prise en charge de l’anéantissement et de la rupture des liens.
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N° 150 Adolescence et addictions
N° 192 Alcool : abstinence et/ou réduction?
N° 196 L'addiction sexuelle
N° 295 Addiction numérique ?
N° 262 Activités physiques en psychiatrie
N° 274 Agitation : comment s'adresser au corps ?
N° 282 La relaxation, entre détente et thérapie
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