Etat des lieux des conduites suicidaires
Dans le cadre de la 35e semaine de prévention du suicide, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), qui …
Dans le cadre de la 35e semaine de prévention du suicide, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), qui …
Les Français dorment de moins en moins, et de plus en plus mal. Surfant sur leur plainte, le marché du « mieux dormir » se développe. Que révèlent ces tendances ? De quoi sommes-nous si « fatigués » ?
Entre juin 2023 et juin 2024, les effectifs de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) ont connu une croissance de 4,7%, selon la Drees qui publie …
Quels sont les enjeux actuels de la prévention du suicide ? Comment se déploie la stratégie globale qui permet de répondre à la complexité et à la multifactorialité des conduites suicidaires et avec quels outils de soin ?
La première étude française sur les causes de décès des personnes suivies pour des troubles psychiques sévères montre une espérance de vie fortement réduite et une mortalité prématurée quadruplée. De premiers résultats qui corroborent ceux de la littérature internationale.
L’analyse des expertises psychiatriques depuis les années 1960 montre qu’elles concluent de plus en plus souvent à la responsabilité des malades mentaux criminels et donc à leur détention. Que traduit cette évolution ? Synthèse entre histoire et sociologie.
Aujourd’hui, la « prison-asile » accueille et exclut, soigne et surveille. Dans ce contexte, les imbrications entre les logiques d’assistance et de contrôle induisent des tensions morales pour les groupes professionnels qui exercent en milieu carcéral.
Sous un angle purement statistique, il n’y a pas davantage de suicides chez les infirmières que
dans la population générale. En se dégageant de l’émotion, l’approche sociologique met en
évidence l’importance du travail comme espace de réalisation de soi et d’efficacité collective.
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), qui a visité depuis 2008 la moitié des établissements de psychiatrie, dénonce de nombreux dysfonctionnements en matière d’isolement et de contention et formule des propositions concrètes pour faire évoluer les pratiques.
En 2015, selon le Recueil d’informations médicalisées en psychiatrie (RIM-P), l’isolement thérapeutique a concerné 28 000 personnes hospitalisées en psychiatrie, soit 1 personne sur 12. Malgré des limites, ce recueil de données permet d’objectiver le recours à l’isolement en psychiatrie.