« Contrôler la psychiatrie » ? : les actes du colloque sont en ligne
Qui contrôle quoi et comment en psychiatrie ? Quels sont les objectifs et les perspectives du dispositif actuel de contrôle systématique des mesures d’isolement et …
Qui contrôle quoi et comment en psychiatrie ? Quels sont les objectifs et les perspectives du dispositif actuel de contrôle systématique des mesures d’isolement et …
Un module d’enseignement sur les soins sous contrainte a été élaboré pour les étudiants en soins infirmiers et en médecine. Conçu et dispensé avec des patients experts, ce dispositif comporte de nombreux bénéfices, notamment pour améliorer l’alliance thérapeutique.
Comment font les établissements qui recourent peu, voire pas, aux mesures d’isolement et de contention en psychiatrie ? Au quotidien, on observe que les pratiques …
Précédé par sa réputation de patient « dangereux », Mouaad arrive pour une prise en charge de six mois au CH Valvert. Les soignants de l’unité et au-delà, tout l’hôpital, mobilisés par cet accueil complexe, parviennent à déployer la contenance plutôt que la contention, la vigilance plutôt que la surveillance.
Accueillie à l’Unité pour malades difficiles (UMD), Marie, qui souffre de troubles majeurs du comportement avec hétéroagressivité, a tendance à introduire des objets dans son vagin. Comment garantir sa santé somatique et comprendre ce symptôme ?
L’isolement reste une mesure de sécurité parfois nécessaire en psychiatrie, pour mettre à l’écart des sujets perçus comme dangereux ou trop vulnérables. Mais sa nature n’est pas thérapeutique et cette décision peut vite être contre-productive pour le soin. Repères pour penser des pratiques d’isolement et de contention « en dernier recours ».
Une revue de la littérature propose un tour d’horizon des recherches effectuées notamment aux États-Unis et en Europe, pour évaluer les méthodes ou stratégies qui peuvent restreindre les mesures coercitives en psychiatrie.
C’est par la relation éducative en santé que la négociation soignant-soigné naît, se construit et vit. Dans cette relation, le patient a besoin du soignant pour décider, choisir et transformer le message, qu’il peut alors s’approprier pour en faire un projet dans son quotidien.
Plus de treize ans après sa création, le dispositif légal de la personne de confiance n’a toujours pas pleinement trouvé sa place dans bon nombre d’établissements de santé mentale, particulièrement pour les patients faisant l’objet de soins sans consentement.
Si, en psychiatrie, il apparaît parfois nécessaire aux soins de supprimer ou de limiter la liberté d’aller et venir d’un patient, il faut néanmoins lui garantir ses droits dans le cadre des règles édictées par la société. Comment s’articulent mesures administratives et médicales ?