Dévisage, une expo photo à l’effet miroir
Une exposition intitulée « Dévisage », proposée en début d’année 2024 par la Ferme du Vinatier, donnera à voir le regard porté sur la maladie et le …
Une exposition intitulée « Dévisage », proposée en début d’année 2024 par la Ferme du Vinatier, donnera à voir le regard porté sur la maladie et le …
Au quotidien, comment « gérer » les frustrations des patients, lorsqu’elles sont en lien avec les limites imposées par le cadre de soin ? Histoire d’une unité de soin qui a su se remettre en question et réinventer ses pratiques pour laisser place à la rencontre.
Ce sont souvent des gestes, pensées, souvenirs de tendresse, qui, surgissant par surprise, déclenchent la rencontre. La tendresse bouscule alors le clinicien et élargit le cadre thérapeutique.
Malgré ses limitations, Albertine, une patiente souffrant de troubles psychiatriques, décide d’entreprendre un grand voyage à l’étranger. Portée par un élan de tendresse à son égard, une assistante sociale déploie un accompagnement « sur-mesure », bien au-delà du cadre habituel.
De nombreux affects peuvent émerger dans la relation de soin, plus ou moins « tolérés », mais la méfiance envers la tendresse, en particulier celle du thérapeute, reste tenace. Repères pour accéder au partage puis au départage d’affects dans la thérapie.
Tout être humain ayant traversé des expériences de détresse mais aussi de tendresse et de soin procurés par un autre secourable peut spontanément, sans même avoir à y penser, se montrer «suffisamment bon» à l’égard d’autrui en situation de souffrance et de dépendance.
Lucie, la cinquantaine, a perdu deux de ses enfants dans un accident de la route. Hospitalisée après une tentative de suicide, elle passe à nouveau à l’acte dans sa chambre. Bouleversé, un jeune infirmier lui propose une présence tendre et étayante.
Parmi les affects qui peuvent surgir dans la relation thérapeutique, la tendresse, en particulier celle du clinicien, reste suspecte. Dans la clinique des traumatismes extrêmes, …
Favoriser la rencontre constitue le cœur du métier de soignant. En psychiatrie, cela nécessite de composer et de s’ajuster aux manifestations cliniques. Une recherche met en évidence les éléments que le soignant peut travailler pour créer des conditions favorables à son éclosion.
Comment aller à la rencontre d’une personne souffrant de troubles neurodégénératifs et de ses proches ? Lorsque le quotidien devient une lutte, que les pensées se dérobent, quel sens prend l’accompagnement psychothérapeutique? Repères pour une clinique respectueuse, empreinte d’amour et de bienveillance.