Approche psychosomatique en dermatologie
En dermatologie, l’approche psychosomatique consiste à replacer la maladie dans la vie de la personne. Illustrations avec des patients souffrant de psoriasis, de pelade, de glossodynie…
En dermatologie, l’approche psychosomatique consiste à replacer la maladie dans la vie de la personne. Illustrations avec des patients souffrant de psoriasis, de pelade, de glossodynie…
Edgar, 7 ans, est adressé au CMP pour des troubles du comportement. Au fil d’entretiens individuels
et grâce au jeu, une problématique de dévoration émerge. La rencontre avec le clinicien opère et le petit garçon se tranquillise.
Individuel ou collectif, l’empowerment est une volonté manifeste d’affirmer le droit à la différence psychique, malgré le risque perçu par l’opinion publique, alimenté par les discours et conduites politico-médiatiques. Le point sur l’émergence et l’actualité du concept.
Le concept de capabilité, proposé par Paul Ricoeur, met au premier plan la capacité d’action de chacun. Le soin permettrait ainsi de proposer au patient une aide pour qu’il retrouve une puissance d’agir peut-être altérée par la souffrance mais jamais anéantie.
Depuis 2012, un pôle de santé mentale a mis en place un dispositif original de démocratie sanitaire, afin de permettre aux usagers de participer aux décisions concernant l’organisation des soins et l’accompagnement. Explications.
Comment les cadres soignants peuvent-ils accompagner le processus d’empowerment des usagers en santé mentale mais aussi favoriser celui des professionnels de leurs équipes ? Un cadre de pôle pose la question à ses collègues…
En psychiatrie, négocier est un art. Le soignant y côtoie des patients plus ou moins vulnérables, confrontés à des situations extrêmes. Faute de négociation, la prise en charge est vouée à l’échec.
En négociant les soins proposés, voire en les refusant, le patient questionne le désir soignant, cette énigme à vouloir du bien à quelqu’un qui parfois n’en veut pas… Réflexions pour une éthique de la négociation.
La négociation du soin signe peut-être la fin d’une relation ineffable entre le médecin et le patient, qui fondait une conception de l’autonomie professionnelle.
Si les psychiatres se déclarent spontanément favorables à la décision médicale partagée, dans la réalité, les pratiques restent très hétérogènes. Parfois, les praticiens usent de critères discriminatoires pour l’envisager ou non, ils explorent peu les souhaits des patients ou se réfugient derrière leur « manque d’insight ».