Partager la face cachée du soin…
Comment « mettre en culture » les émotions de chacun au service d’une compréhension commune et humanisante des soins ? Un groupe d’analyse de la pratique explore les sensations, émotions et sentiments des soignants.
Comment « mettre en culture » les émotions de chacun au service d’une compréhension commune et humanisante des soins ? Un groupe d’analyse de la pratique explore les sensations, émotions et sentiments des soignants.
Journées nationales de l’Association pour la recherche et le traitement des auteurs d’agressions sexuelles (ARTAAS) La prise en charge et le traitement d’une personne auteur …
9es Rencontres annuelles des cadres organisés par la Fédération hospitalière de France (FHF) Les Rencontres Annuelles des Cadres (RAC) sont un évènement unique et majeur …
Colloque organisé par l’Association Transition Le paysage institutionnel a été considérablement bouleversé au cours des vingt dernières années. La transformation a procédé tout d’abord de …
Au cours de ses visites dans les unités de soin psychiatrique, Vanawine Sylviery, médecin généraliste, est douloureusement confrontée au vécu des patients « enfermés » dans un …
EN LIGNE 23e Colloque de la revue transculturelle L’autre L’étranger migrant est pris dans les discours politiques et médiatiques jusqu’à faire disparaître sa dimension subjective. …
De nombreuses barrières physiques et psychiques réduisent l’accès à la prévention des cancers féminins pour les femmes en situation de handicap. Pourtant, les institutions qui accueillent certaines de ces femmes sont susceptibles de développer une politique de prévention qui réduit ces difficultés d’accès. Cette recherche de l’IRDES questionne l’effet facilitateur des établissements sociaux et médico-sociaux pour accéder aux dépistages des cancers féminins pour les femmes âgées de 25 à 75 ans déclarant des restrictions d’activité dans la vie quotidienne.
Les impératifs de gestion contemporaine des soins doivent inclure les mouvements psychiques et émotionnels des patients et des équipes. Dans ce contexte, le fonctionnement institutionnel doit favoriser les interactions entre clinique et théorie et entre dispositif de soin et management.
Dans la maladie d’Alzheimer, la thérapie écosystémique propose au patient et à son entourage, familial et professionnel, des procédures pour soutenir les échanges en favorisant les actes de langages adéquats et inversement en évitant les situations perturbatrices ou inhibitrices.
Développés par Didier Anzieu, deux concepts clés, le Moi-peau et l’enveloppe psychique, sont particulièrement éclairants pour mettre en place un cadre thérapeutique avec les patients états-limites. Repères sur l’élaboration et les caractéristiques de ces notions.