Dessinez-nous l’hôpital de jour de demain…
49e Colloque du Groupement des Hôpitaux de jour psychiatriques (GHJPSY) « Dans notre pays, nous n’en sommes qu’aux balbutiements dans l’installation de ce type d’unité de soins …
49e Colloque du Groupement des Hôpitaux de jour psychiatriques (GHJPSY) « Dans notre pays, nous n’en sommes qu’aux balbutiements dans l’installation de ce type d’unité de soins …
Un Centre de Réhabilitation Thérapeutique (CRT) vient d’être créé au Centre Hospitalier Dinan/Saint-Brieuc, pour être au plus près des besoins des patients, de leurs familles …
Le sommeil du nourrisson est une préoccupation majeure des jeunes parents. Une unité de périnatalité leur propose une « école à dodo », pour les aider à déculpabiliser et instaurer des nuits plus paisibles.
Avec Éléonore, accueillie à l’hôpital de jour, l’équipe soignante
est dans une impasse. Des entretiens familiaux permettent
d’évoquer des souffrances non élaborées et d’explorer les
étranges « rires immotivés » de la jeune femme.
Après un mois d’hospitalisation à temps plein, Françoise, 45 ans, bipolaire, suicidaire et très anxieuse, est suivie à l’hôpital de jour. Comment soutenir cette patiente déjà bien connue ? Un infirmier l’accompagne avec des outils empruntés à l’hypnose et aux thérapies brèves.
Le fait de déjeuner ensemble, soignants et soignés, suffit-il à faire du repas un temps « thérapeutique » ? Ces repas, qui mettent souvent à rude épreuve les patients mais aussi les soignants, les convoquent côte à côte pour partager la nourriture et bien davantage : une historicité et un possible accès au symbolique.
Teint blafard, yeux cernés, sans langage, Tom, 5 ans, souffre d’autisme. À l’Hôpital de jour (HDJ), un atelier d’art-thérapie lui est proposé, sous-tendu par l’idée de laisser des traces par le biais de la matière. Réflexion sur l’engagement du soignant dans la médiation.
Morgan se qualifie de « vivant mort ». Au cœur de la conflictualité qui l’habite, à la rencontre de sa souffrance et de
sa violence, maintenir une capacité d’accueil semble une tâche impossible pour des soignants en perpétuel déséquilibre.
Un atelier d’écriture en hôpital de jour gériatrique vient non seulement stimuler les fonctions
cognitives défaillantes des personnes âgées mais aussi restaurer leur confiance en elles et leur créativité.
Le cadre thérapeutique d’un atelier à médiation tient une place essentielle dans l’émergence, chez des patients
psychotiques, de contenus psychiques auparavant impensables. Repères théoriques et illustrations cliniques.