« Quand je joue en ligne, j’oublie tout »
Marc, 31 ans, souffre d’un trouble de la personnalité borderline et d’une addiction au poker en ligne. Au cours d’une prise en charge en addictologie, …
Marc, 31 ans, souffre d’un trouble de la personnalité borderline et d’une addiction au poker en ligne. Au cours d’une prise en charge en addictologie, …
En proie à une grande agitation et une angoisse massive qui la déborde, Babette propage une ambiance électrique dans toute l’unité et se met en …
Au cours de son rétablissement, des neuropsychologues participent à la mise en évidence des ressources et fragilités d’Hannah, au niveau de son fonctionnement cognitif et psychologique. Objectif : accompagner cette jeune femme en grande souffrance au plus près de ses demandes.
Dans le trouble de personnalité état-limite (ou trouble de personnalité borderline TPB), une annonce structurée du diagnostic est un élément important pour le processus de …
Formation organisée par le centre ressource du CH du Vinatier Public cible Cette formation s’adresse aux psychiatres en formation, aux médecins généralistes ou spécialisés, aux …
Camille, 25 ans, présente un fonctionnement de type borderline. Elle entretient systématiquement des relations interpersonnelles surinvesties et houleuses. Après une tentative de suicide suite à une dispute amoureuse, un programme structuré de Thérapies cognitives et comportementales de 3e vague lui est proposé.
Développés par Didier Anzieu, deux concepts clés, le Moi-peau et l’enveloppe psychique, sont particulièrement éclairants pour mettre en place un cadre thérapeutique avec les patients états-limites. Repères sur l’élaboration et les caractéristiques de ces notions.
Un binôme psychologue infirmier propose à des patients souffrant de troubles borderline un atelier pour réguler leurs émotions et expérimenter une relation sécure à l’autre, dans une perspective de « réparer » leur modèle d’attachement.
Provoquant, rejouant sans cesse une profonde blessure narcissique, le patient état limite entraîne le soignant dans une communication paradoxale, en essayant de le faire sortir de ses gonds. L’enjeu pour le clinicien est de lui permettre d’expérimenter un autre lien.
Morgan se qualifie de « vivant mort ». Au cœur de la conflictualité qui l’habite, à la rencontre de sa souffrance et de
sa violence, maintenir une capacité d’accueil semble une tâche impossible pour des soignants en perpétuel déséquilibre.