Déposer l’histoire familiale
Située au sein d’un CHS, une unité de thérapie familiale propose, après quelques entretiens préliminaires et selon le contexte, des consultations familiales ou une thérapie familiale psychanalytique.
Située au sein d’un CHS, une unité de thérapie familiale propose, après quelques entretiens préliminaires et selon le contexte, des consultations familiales ou une thérapie familiale psychanalytique.
Le déni de grossesse est un trouble de la gestation psychique, dont l’enjeu constant est de nier la grossesse et la présence de l’enfant. Ce processus extrêmement actif se situe dans l’inconscient. Repères théoriques et cliniques.
Pierre, 67 ans, vient d’arriver à Lyon. Dépressif, ancien alcoolique, il est adressé au CMP pour son suivi psychiatrique. Rapidement, la nécessité de trouver un généraliste apparaît et le dispositif spécifique d’accompagnement vers les soins somatiques, CoReSo-Somapsy, est sollicité.
La sortie de l’hôpital reste problématique pour certains malades, en lien avec des difficultés majeures d’insertion
dans la cité. Se basant sur le modèle du case management, une unité de transition pour patients complexes déploie un
suivi spécifique. Illustrations avec les cas d’Aline et de Marc.
Le deuil est un phénomène de détachement progressif du lien affectif, qui se produit un certain temps après la mort d’un être cher. Dans une société où les rites mortuaires disparaissent, renouer avec la parole autour de la mort reste la meilleure façon de soutenir les personnes endeuillées.
À partir de techniques de musicothérapie et de sophrologie, un dispositif permet à des personnes âgées démentes de
s’inscrire corporellement dans le moment présent et de se relier au monde, ce qui leur procure apaisement et mieux-être.
Claudine, la quarantaine, souffre d’un angiome cérébral. Cette malformation, qui peut s’avérer dangereuse,l’angoisse beaucoup. S’appuyant sur l’hypnose et les thérapies brèves, un infirmier explore avec elle son anxiété et ses ressources personnelles pour y faire face.
Après un mois d’hospitalisation à temps plein, Françoise, 45 ans, bipolaire, suicidaire et très anxieuse, est suivie à l’hôpital de jour. Comment soutenir cette patiente déjà bien connue ? Un infirmier l’accompagne avec des outils empruntés à l’hypnose et aux thérapies brèves.
«À Beauséjour, tout le monde prend soin de moi… C’est pas,comme à l’hôpital !»
À 55 ans, Cécile, qui souffre de schizophrénie, est orientée vers l’Ehpad. Toujours suivie par le secteur, elle bénéficie d’un accompagnement cousu main.
Dans la psychose, l’âge amène des modifications de l’expression clinique, tout en conservant « le noyau dur » des pathologies. À domicile, en milieu psychiatrique ou en Ehpad, les soignants doivent ajuster leurs réponses à ces spécificités cliniques.