La notion de « dissociation traumatique » reste parfois difficile à saisir, comme si elle portait en elle son propre symptôme… Il est pourtant essentiel de repérer ses formes cliniques, pour apporter des soins adaptés.
« Elle (ou il) est dissocié(e) », entend-on régulièrement dans les réunions cliniques ou lit-on dans les observations médico-psychologiques. Mais de quoi parle-t-on ? De l’impression que le patient « décroche » ou « est ailleurs », ce qui peut arriver à tout un chacun ? D’une discordance idéo-affective et comportementale en référence aux troubles schizophréniques ? Ou encore, fait-on référence à la dissociation traumatique ?
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