Les médecins à la découverte du « patient partenaire »…
Depuis quelques années, les patients partenaires sont de plus en plus présents dans le système de santé, auprès d’autres malades, de soignants et d’étudiants. Mais …
Depuis quelques années, les patients partenaires sont de plus en plus présents dans le système de santé, auprès d’autres malades, de soignants et d’étudiants. Mais …
L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) recueille au niveau international une série d’indicateurs sur le vécu du parcours de soins des patients chroniques …
Etablir des liens significatifs avec un patient délirant nécessite de lui permettre d’exprimer son délire. Dans ce contexte, est-ce utile, sensé, de planifier des entretiens et pourquoi faire ? Témoignage.
Rien de plus simple, en apparence, que d’inviter une personne à s’exprimer mais dès que l’on déplie ce « Je vous écoute… », on est saisi par sa complexité, le nombre de mécanismes en jeu et ce que cela engage pour ce « je » qui écoute…
Madame Flocon, âgée de 42 ans, hospitalisée suite à une bouffée délirante aiguë, se dit enceinte de 24 bébés. Dans cet article, Alison Bardy, psychologue, …
Chez la personne âgée, la chute est un événement physique redouté, marqueur de vulnérabilité et de dépendance. Si elle inflige une blessure au corps autant qu’à la psyché, elle peut aussi constituer une ouverture sur le travail psychique du vieillir.
L’analyse des déclarations des soignants à l’Observatoire national des violences en santé (ONVS) montre que le mot « frustration » est utilisé de manière générique, parfois hors contexte, qu’il masque de réelles privations et une utilisation rigide du cadre de soins.
Dans la clinique des traumatismes extrêmes, le soignant cherche activement une solution à la détresse du patient et à sa propre impuissance à le soulager. Au-delà de l’empathie et de la bienveillance, il s’engage parfois dans le déploiement d’un acte de tendresse.
Une recherche centrée sur la collecte de l’expérience vécue des soignants lorsqu’ils rencontrent un patient pour la première fois, met en lumière ce qui se joue en deçà et au-delà de la compétence technique du professionnel et de la recherche d’un diagnostic, c’est-à-dire ce qui fait la chair de la rencontre.
Comment « mettre en culture » les émotions de chacun au service d’une compréhension commune et humanisante des soins ? Un groupe d’analyse de la pratique explore les sensations, émotions et sentiments des soignants.