N° 285 - Février 2024
Aujourd’hui, la théorie de l’attachement est une approche incontournable en psychopathologie. Si le besoin vital d’attachement est très présent à la naissance, il reste actif …
Aujourd’hui, la théorie de l’attachement est une approche incontournable en psychopathologie. Si le besoin vital d’attachement est très présent à la naissance, il reste actif …
La recherche montre que les mères qui ont une relation d’attachement insécure à leur conjoint sont plus à risque de développer une dépression périnatale et de présenter des difficultés de régulation émotionnelle.
Marie, une jeune mère de 27 ans, souffre de dépression post-partum. Elle ne sent pas soutenue par son conjoint et juge sa mère trop intrusive. Grâce à l’entretien d’attachements multiples (AMMI), qui propose d’explorer les liens passés et actuels, elle amorce un processus thérapeutique en identifiant ses schémas relationnels et ses besoins.
Chez l’âgé, lorsque les performances s’amenuisent et que des troubles cognitifs ou une maladie neurodégénérative s’installent, le besoin de rester lié s’intensifie. Comment comprendre et répondre à ses demandes d’interactions tardives ?
Rose, 99 ans, et Gaston, 100 ans, ont formé toute leur vie un couple équilibré. Mais aujourd’hui, le vieil homme veut entrer en institution et son épouse s’y refuse absolument. Une prise en charge de type guidance familiale permet de décrypter le conflit et la dynamique à l’œuvre.
Comment aller à la rencontre d’une personne souffrant de troubles neurodégénératifs et de ses proches ? Lorsque le quotidien devient une lutte, que les pensées se dérobent, quel sens prend l’accompagnement psychothérapeutique? Repères pour une clinique respectueuse, empreinte d’amour et de bienveillance.
Le burn-out parental a de multiples conséquences pour le parent concerné, mais aussi ses enfants et son conjoint, comme le montrent les récentes recherches.
Le couple contemporain se trouve à la conjonction de deux grandes évolutions qui traversent notre hypermodernité : la montée de la place de l’individu et la prépondérance de plus en plus grande accordée à l’amour conjugal.
Dans le courant des thérapies cognitivocomportementales, l’IBTC propose aux couples
en souffrance diverses stratégies d’acceptation émotionnelle des différences de l’autre, des problèmes et même des incompatibilités. Principes généraux.
Une recherche en psychologie clinique a permis de valider un modèle d’évaluation des interactions conjugales basé sur la communication non verbale. Objectif : poser précocement l’indication de prise en charge thérapeutique du couple.