Psychologie positive dans l’équipe soignante
Le modèle PERMA de Seligman, pionnier de la psychologie positive, propose cinq composantes du bien-être, qui peuvent soutenir et améliorer le quotidien des soignants en psychiatrie.
Le modèle PERMA de Seligman, pionnier de la psychologie positive, propose cinq composantes du bien-être, qui peuvent soutenir et améliorer le quotidien des soignants en psychiatrie.
De plus en plus couramment, les formations à l’éducation thérapeutique du patient (ETP) accueillent des patients
experts ou pairs aidants. Deux logiques d’apprentissage sont à l’oeuvre.
Malgré son retard, depuis une dizaine d’années, la recherche en soin infirmier se développe, et tout particulièrement en psychiatrie. Quels sont les freins à sa mise en place et comment les soignants peuvent-ils l’investir ? État des lieux.
Pour permettre un accès aux soins dans un délai d’environ 8 jours, des équipes du CH de Saint-Cyr au Mont d’Or ont mis en place des entretiens infirmiers de première intention. Cette forme de rendez-vous s’inscrit dans un cadre bien particulier. Repères théoriques et pratiques.
En psychiatrie, donner une place au rêve, à l’affect du patient mais aussi du soignant, modifie les termes même de la relation, permet de travailler au cœur d’une situation d’impasse, en ouvrant ainsi d’autres perspectives thérapeutiques au-delà de la séparation du psychique et du somatique.
L’empowerment en santé mentale est un enjeu complexe et multidimensionnel, qui implique un changement de posture des soignants. L’usager du futur est acteur de ses soins, moteur de son rétablissement et auteur de son projet de vie.
S’appuyer sur la réalité du patient, explorer avec lui les dysfonctionnements qui l’ont entraîné dans ses difficultés, permet au psychothérapeute systémicien d’engager une négociation sur les soins et de limiter la résistance.
En psychiatrie, l’isolement en « dernier recours » pointe parfois la limite d’une prise en charge sans indiquer ce qui la justifie. Mais qu’est-ce qui déclenche une telle mesure face à la crise ?
Si de nombreux facteurs génétiques sont impliqués dans la vulnérabilité des maladies psychiatriques, l’influence des facteurs épigénétiques, liés aux événements de vie et à l’environnement est également déterminante.
Parce qu’elle prévient ou corrige les erreurs, la conciliation médicamenteuse est un axe important d’amélioration de la prise en charge, tout particulièrement en psychiatrie, du fait des parcours de soins complexes, des nombreux intervenants et des difficultés liées à la pathologie.