Pénurie de médicaments en psychiatrie : « une situation insoutenable »
Dans le contexte d’une psychiatrie « déjà à bout de souffle », un collectif d’acteurs professionnels et d’usagers alertent sur la pénurie de médicaments qui …
Dans le contexte d’une psychiatrie « déjà à bout de souffle », un collectif d’acteurs professionnels et d’usagers alertent sur la pénurie de médicaments qui …
Première édition de la Journée nationale de la section NeuroPsychoPharmacologie (Npp) de l’Association Française de Psychiatrie Biologique et de Neuropsychopharmacologie (AFPBN) Le Suivi Thérapeutique Pharmacologique …
L’objectif du traitement par antipsychotique est de réduire les symptômes à l’origine d’une souffrance pour le patient, mais aussi d’améliorer sa qualité de vie et son insertion, tout en limitant les effets secondaires potentiellement négatifs. Principes de prescription et effets secondaires.
La consommation de cannabis est très répandue dans le monde. Au-delà de postures idéologiques, quand parle-t-on de trouble de l’usage et de dépendance ? Quels sont les effets sur l’organisme et les complications psychiatriques et somatiques potentielles ?
Chez les patients schizophrènes âgés, la prescription de psychotropes au long cours implique de tenir compte de nombreux facteurs cliniques, auxquels s’ajoutent trois dimensions importantes : quelle dose, quelle durée et quelle molécule ?
La pharmacopée antidépressive s’est considérablement développée au XXe siècle mais reste insuffisante pour traiter efficacement l’ensemble des épisodes. La recherche se concentre vers de nouvelles pistes thérapeutiques.
L’instauration d’un traitement antipsychotique est la pierre angulaire du traitement du premier épisode psychotique. Cette prescription s’intègre dans un dispositif de prise en charge personnalisée et globale visant les rémissions symptomatique et fonctionnelle.
Quels sont les bénéfices des antipsychotiques d’action prolongée? Si les dernières recommandations préconisent
leur utilisation dès le premier épisode, on constate que leur sous-utilisation est associée à un manque de connaissances et à des représentations négatives.
Les patients en psychiatrie ont-ils besoin d’être « psychoéduqués » ? Le Groupe information asiles (GIA), association de « psychiatrisés », dénonce la toute-puissance de l’institution et
milite pour une psychiatrie au service du patient, dans une relation symétrique.