Concertation sur les directives anticipées et la personne de confiance
La Délégation au numérique en santé avec l’appui de l’Agence du numérique en santé et de l’Assurance maladie, proposent jusqu’au 31 janvier 2025 une concertation …
La Délégation au numérique en santé avec l’appui de l’Agence du numérique en santé et de l’Assurance maladie, proposent jusqu’au 31 janvier 2025 une concertation …
Les directives anticipées posent la question de la permanence de l’identité (qui agit dans le moment de la rédaction ?) et imposent aux soignants de s’assurer, qu’au-delà des préférences d’une personne « incapable », toute décision se fera en fonction de ses valeurs.
Pour consentir à un traitement, il faut d’abord admettre la maladie et accepter le besoin de soin. En matière d’éducation
thérapeutique du patient, la loi requiert un consentement écrit du patient ou de ses représentants légaux.
Anticiper l’entrée en établissement, avec la personne concernée et ses proches, favorise l’adaptation de tous à cette vie nouvelle. Jusqu’à l’accompagnement, ce temps de l’accueil comporte plusieurs étapes, que différents outils permettent de déployer.