« Sous le regard » : un atelier pour redynamiser l’estime de soi
« Sous le regard » est un groupe thérapeutique basé sur le chant, la danse et le théâtre, construit à la Fédération Mosaïque par et pour cinq …
« Sous le regard » est un groupe thérapeutique basé sur le chant, la danse et le théâtre, construit à la Fédération Mosaïque par et pour cinq …
Nathan, 23 ans, est porteur d’un trouble du spectre de l’autisme. Très anxieux, rigide, il ne sort quasiment plus du domicile parental. Le programme d’entraînement aux habiletés sociales Blablacare lui permet d’améliorer ses compétences sociales tout en comprenant son fonctionnement lors de situations d’interactions.
Les interactions humaines sont permises par un ensemble de mécanismes neurocognitifs définis par la notion de « cognition sociale ». Afin de détecter les patients atteints de …
Conçu pour aider
des patients souffrant de schizophrénie à travailler leurs difficultés relationnelles, le programme de remédiation cognitive Gaïa s’appuie sur le partage des émotions entre le soignant et le soigné, dans un échange authentique.
Dans la schizophrénie, les troubles cognitifs sont présents chez 4 personnes sur 5. Il est donc essentiel de réduire ces troubles, qui impactent la vie quotidienne et le rétablissement. La remédiation cognitive renforce durablement les capacités fonctionnelles des usagers et les bénéfices sont significatifs.
Au cours d’une consultation, une infirmière repère chez Monsieur André, un patient alcoolodépendant, des troubles cognitifs liés à son addiction. La neuropsychologie et la remédiation cognitive, encore peu utilisées en addictologie, peuvent se révéler des outils précieux.
Michel, qui souffre de schizophrénie, évoque des troubles de la mémoire, des difficultés à se concentrer et un sentiment de solitude… L’équipe de l’hôpital de jour lui propose de participer au groupe « Jeu Mathurin », un programme virtuel qui mobilise les fonctions neurocognitives et la cognition sociale.
Chaque programme de remédiation cognitive doit être parfaitement adapté au contexte actuel du patient et à ses objectifs de rétablissement. À cette fin, le bilan médical, neuropsychologique et fonctionnel constitue un préalable indispensable.
Malgré son intérêt indiscutable, l’implantation de la remédiation cognitive dans les pratiques de soins courantes reste faible. L’investissement de ces techniques par les infirmiers constitue un enjeu pour un déploiement au bénéfice d’un plus grand nombre de patients.
En découpant le fonctionnement cognitif en différents processus, on parvient à comprendre l’activité mentale normale, ce qui permet d’appréhender les difficultés fonctionnelles observées dans certaines pathologies et leurs conséquences en termes d’autonomie et de vie sociale.