La thérapie cognitive basée sur la pleine conscience (MBCT) a été développée pour prévenir les rechutes dépressives chez les patients unipolaires. Elle a été amménagée pour les patients bipolaires en phase destabilité de l’humeur, symptomatiques, voire en phase dépressive aiguë. Illustration avec le parcours de Sophie.
La Mindfulness s’installe dans les lieux de soin. De quoi s’agit il ? Sur quels principes reposent les interventions basées sur la pleine conscience ? Quels sont leurs effets sur la santé mentale ? État des lieux.
Une recherche en soins a identifié le rôle de l’humour et les modalités de son déploiement dans les soins infirmiers. Dans cette perspective, les soignants pointent son potentiel et la diversité de ses registres d’actions.
Peut-on se risquer à l’humour dans une situation de souffrance psychique sans mettre en péril l’alliance thérapeutique ? Oui ! à condition de manier cet outil avec précautions.
Schiz’dit ! est un programme d’éducation thérapeutique du patient mis en place au Centre hospitalier spécialisé de Nouméa pour les patients souffrant de schizophrénie et leurs familles. Deux ans après la première session d’ETP, bilan d’une initiative qui a transformé les relations de soins.
Si, dans les phases aiguës de la schizophrénie, l’injection d’antipsychotique représente une capitulation, le sujet qui se rétablit apprend à en faire un outil de routine au service de la reconstruction de soi et de lutte pour la normalité.
Deux chiens ont été introduits dans une unité de soins pour patients souffrant de psychose chronique non stabilisés. Cette initiative originale bouleverse le quotidien de tous et crée de multiples occasions de soins et de rencontres.
À l’occasion de la rénovation d’un pavillon d’hospitalisation, l’atelier d’art-thérapie du CATTP se voit confier la réalisation d’une fresque. Deux patientes s’engagent dans ce travail et cheminent, du trait au geste, du geste au symbole, du symbole au mot…
Chez les patients souffrant de troubles bipolaires, l’estime de soi fluctue massivement en fonction des épisodes, avec souvent la persistance d’un niveau bas en phase euthymique. Un travail de groupe permet à Marie d’améliorer son niveau d’estime de soi.
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N° 150 Adolescence et addictions
N° 192 Alcool : abstinence et/ou réduction?
N° 196 L'addiction sexuelle
N° 295 Addiction numérique ?
N° 262 Activités physiques en psychiatrie
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N° 282 La relaxation, entre détente et thérapie
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