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Provoquant, rejouant sans cesse une profonde blessure narcissique, le patient état limite entraîne le soignant dans une communication paradoxale, en essayant de le faire sortir de ses gonds. L’enjeu pour le clinicien est de lui permettre d’expérimenter un autre lien.
Touchée par un jeune patient nouvellement pris en charge à l’hôpital de jour, Magali, infirmière débutante en psychiatrie, est prise dans une relation complexe et des projections qui la dépassent. Le cadre contenant de l’équipe lui permet de penser ce lien.
Entre normes administratives et gestion des moyens, comment le cadre de santé peut-il favoriser la nécessaire « pratique de la présence » des soignants ? Différents espaces doivent être proposés pour penser la relation. Au-delà, il s’agit de s’engager et de défendre une certaine éthique du soin.
La démarche Qualité d’une institution, quand elle ne se nourrit pas d’obsessions comptables et de contrôle, peut soutenir l’engagement soignant. Comment s’approprier la question de la qualité en fonction des spécificités du soin en psychiatrie ?
Si l’anxiété est présente dans toutes les pathologies psychiques, on évoque un trouble anxieux lorsqu’elle en est l’élément central. Ces troubles doivent être évalués finement, en particulier pour orienter les prises en charge. Définitions, repères diagnostics et approches thérapeutiques.
Les anxiolytiques sont les psychotropes les plus prescrits en cas de retentissements importants des symptômes anxieux. Cette prescription répond à des règles strictes et vient en complément d’une psychothérapie.
Si les Thérapies comportementales et cognitives (TCC) en ligne ne remplacent pas la nécessité du face-à-face avec les
soignants, elles offrent de nouvelles possibilités de diffusion et de prévention.
Pourquoi l’angoisse est-elle devenue un des problèmes majeurs de la psychopathologie ? De quelle souffrance ou de quelle plainte est-elle le nom ? Aperçu des théories psychanalytiques de l’angoisse.
Après un mois d’hospitalisation à temps plein, Françoise, 45 ans, bipolaire, suicidaire et très anxieuse, est suivie à l’hôpital de jour. Comment soutenir cette patiente déjà bien connue ? Un infirmier l’accompagne avec des outils empruntés à l’hypnose et aux thérapies brèves.
Claudine, la quarantaine, souffre d’un angiome cérébral. Cette malformation, qui peut s’avérer dangereuse,l’angoisse beaucoup. S’appuyant sur l’hypnose et les thérapies brèves, un infirmier explore avec elle son anxiété et ses ressources personnelles pour y faire face.