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L’équipe Psy’surdités s’attache non seulement à identifier une symptomatologie chez des patients sourds et malentendants, mais aussi à l’appréhender et la comprendre avec ce que donnent à voir l’expression corporelle, l’iconicité et tous les paramètres de la langue des signes. Illustration avec l’histoire de Gabrielle, qui consulte pour des troubles dépressifs.
Dans le contexte de crise de la psychiatrie, la défense des activités est une priorité ! L’exemple du jeu d’échecs illustre bien les multiples bénéfices thérapeutiques et l’innocuité de telles propositions décriées car « occupationnelles »…
Si, au cours du rétablissement, il faut se rétablir cliniquement, la confrontation avec la réalité (re)trouvée reste difficile. Les activités occupationnelles constituent alors un appui solide. Expérience d’une paire praticienne en santé mentale…
Au sein de l’hôpital de Niort, la P’tite Cafète est un lieu ouvert à tous, où l’accueil inconditionnel et la tolérance prévalent. Un infirmier nous invite dans ce lieu hors-norme, carrefour des chemins perdus, refuge des insensés, où des soignants bichonnent, inventent, nourrissent… Récits de quelques rencontres.
Lors de leur pause déjeuner, les soignants du CMP évoquent les moments partagés avec « leurs » patients. Comment qualifier ce qui ne s’inscrit pas nécessairement dans un projet thérapeutique mais relève incontestablement de la sollicitude ?
Les dispositifs occupationnels ont toujours pour but l’émergence et la consolidation de processus de renforcement de l’estime de soi et de l’auto-identification positive. Ils sont des supports essentiels à la resocialisation, à l’autonomisation et à la remise en route du patient, ainsi (re)individué et subjectalisé, reconnu.
À l’ère des pratiques de soin évaluables et fondées sur des preuves, la question des activités occupationnelles est devenue impensable. Pourtant, les ergothérapeutes ont fait de ce mot tabou le centre de leur identité. Que faire, ensemble, de ce paradoxe ? Éclaircissements.
Les activités occupationnelles méritent mieux que le dédain qu’elles suscitent souvent. Encore considérées comme des passe-temps, elles permettent pourtant aux soignants de s’ajuster très précocement au patient et à ses besoins. Illustration avec l’histoire de Zoltan.
À 4 ans, Julie, placée depuis deux ans en familles d’accueil, présente des troubles liés à de graves négligences et carences affectives. Une infirmière puéricultrice du Programme d’évaluation et de suivi individualisé du développement des enfants vulnérables (Psi-Dev) intervient pour coordonner son parcours.
Si la médiatisation accrue du Trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) permet une meilleure reconnaissance des difficultés vécues par les personnes concernées, elle soulève des défis majeurs en termes d’accès au diagnostic et aux soins.