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« On est dans un monde qui paraît irrationnel et que les autres ne comprennent pas ». L’analyse des récits de femmes souffrant d’anorexie permet d’explorer pourquoi maigrir est la chose la plus apaisante et vivifiante dont elles aient fait l’expérience.
L’utilisation de la réalité virtuelle (VR) comme outil thérapeutique et psychoéducatif pourrait améliorer l’accessibilité à des soins spécialisés en matière de trouble du comportement alimentaire, et ainsi réduire les délais de prise en charge. Recherches et perspectives.
Au cours d’une longue hospitalisation, Louise réinscrit son anorexie dans son parcours de vie et affronte pas à pas ses peurs et son ambivalence.
En janvier 2021, la Clinique des maladies mentales et de l’encéphale (CMME) du GHU Paris psychiatrie et neurosciences a ouvert le premier hôpital de jour intensif (HDJi) spécialisé dans les troubles du comportement alimentaire (TCA).
Dans ce centre expert TCA, un dispositif particulièrement innovant favorise l’engagement des patients dans les soins : à l’issue de deux jours d’évaluation pluridisciplinaire, une journée est dédiée à la découverte de huit approches psychothérapeutiques.
La prise en charge de l’anorexie mentale représente un enjeu complexe qui ne se réduit pas à la renutrition, même si elle est indispensable. Les soins doivent être pluridisciplinaires et coordonnés. Tour d’horizon des approches thérapeutiques et perspectives…
Maladie métabo-psychiatrique multifactorielle, potentiellement fatale, l’anorexie mentale reste un défi pour les soins. La recherche a récemment exploré de nouvelles perspectives. L’occasion de faire le point sur l’état des connaissances.
À 46 ans, cet infirmier expérimenté en psychiatrie est victime d’une décompensation psychotique brutale. Du début des troubles au rétablissement, ce récit « de l’intérieur » montre l’importance « d’accueillir » le délire.
Dans le temps très court de l’admission à l’hôpital psychiatrique, les représentations sociales jouent un rôle prépondérant dans l’évaluation que chacun se fait de la situation. Les soignants doivent en être conscients pour penser collectivement ce moment.
« C’est cool ici ! » Le dispositif « Espace enfants » accueille les parents hospitalisés et leurs enfants. Un moment « hors de la maladie », adossé à des groupes de soutien et une consultation familiale.