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Une enquête tente d’éclairer l’approche psycho-sociale de la prise de poids et de l’obésité chez les patients atteints de schizophrénie.
Le repas thérapeutique et l’atelier cuisine sont des séquences de vie quotidienne très proches de la réalité et qui, « mine de rien », permettent de travailler différentes compétences que les patients avaient perdues, croyaient avoir perdu ou n’avaient tout simplement jamais eu…
Expérience d’une équipe de psychiatrie qui inscrit la prise en charge du surpoids des patients dans une véritable démarche d’évaluation des pratiques professionnelles
Le programme « Apple-pie group » mis au point par un psychiatre suisse permet d’aborder la problématique de l’hypophagie boulimique et la restriction cognitive dans le traitement groupal des problèmes de surpoids des patients psychotiques.
En intra comme en extra-hospitalier, plus la prise en charge diététique s’inscrit dans la durée, plus les conseils donnés sont efficaces.
Prise en charge médicale et infirmière de Mamadou, un enfant présentant des troubles du comportement, qui,grâce à un atelier cuisine trouve sa place…
L’évolution de la santé repose sur un vrai partenariat social où les usagers seraient réintroduits en termes de droits mais aussi de devoirs, notamment concernant le partage de risque. Cette question est centrale, car une médecine sans risque est une médecine sans sujet et, il n’y aura jamais de risque zéro…
Il est certain que Mickey recommencera à arrêter son traitement. Il apparaît essentiel qu’il le fasse dans une certaine dynamique qui lui permette d’élaborer des questionnements et d’aller un peu plus loin. Joseph, l’infirmier, ses collègues et le psychiatre sont prêts à l’accompagner sur ce chemin…
Au-delà des propos souvent ambivalents que reflètent les témoignages des patients sur leur médication, de nombreux récits font émerger leur revendication d’accéder à une position de sujet à part entière dans le processus de traitement.
La gestion autonome de la médication vise contribue à un questionnement personnel sur la qualité de vie, les moyens de l’améliorer et les conditions pour amener des changements significatifs vers un mieux-être. La médication devient ainsi un instrument au service d’une finalité plus globale qui dépasse le contrôle de certains symptômes.