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Annoncer le diagnostic à un sujet atteint de schizophrénie est une étape majeure dans le processus de prise en charge.
Il n’existe pas de confusion subjective dans la psychose. Pour le patient, cela se joue avec tous les hommes, et c’est universel… mais attention !
Le Horlà, trois récits de Maupassant qui illustrent trois positions possibles de la personne qui décompense une psychose…
L’insomnie est une plainte fréquente. Si les études scientifiques ne permettent pas de répondre à la question précise des conséquences de l’insomnie sur la santé, la comorbidité qui l’accompagne souligne néanmoins qu’il s’agit d’un trouble associé à une souffrance psychique importante.
L’amélioration de la capacité des cliniciens à différencier en cas de premier épisode psychotique un trouble bipolaire d’une schizophrénie est un enjeu primordial.
De nombreuses conférences de consensus permettent aujourd’hui de guider les prescripteurs dans le choix de la molécule antimaniaque adaptée. Elles tiennent compte des caractéristiques cliniques de l’épisode maniaque et du profil de tolérance médicale du patient.
La recherche en imagerie cérébrale a montré que la manie et le trouble bipolaire ont des bases cérébrales objectivables. Elle a apporté de nouveaux éléments de compréhension de la physiopathologie et permis de mettre au point de nouvelles techniques de traitement.
Dans le cadre d’un épisode maniaque, l’aspect relatif à la protection juridique est loin d’être accessoire.
Au détour d’un travail minutieux avec le patient, et parfois avec ses proches, il est possible d’identifier des prodromes de manie et de mettre en oeuvre des stratégies efficaces de prévention des épisodes maniaques.
Histoire d’une prise en charge qui déstabilise l’équipe soignante…