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Il est déterminant de distinguer les caractéristiques de consommation de l’adolescent qui relèvent d’un processus développemental de celles qui relèvent d’une véritable problématique psycho-pathologique.
L’histoire de Jean, jeune cocaïnomane, déroule la complexité d’une prise en charge qui intègre aussi ses parents. Alliance thérapeutique, prise de conscience des mécanismes de consommation, motivation et processus de régulation sont autant de facteurs bénéfiques pour le sevrage. Vient ensuite la psychothérapie…
On note chez les jeunes une accélération assez marquée des phénomènes d’alcoolisations épisodiques sévères et d’ivresse : le binge-drinking. Il est important de repérer ces alcoolisations, d’en explorer les conséquences et les raisons afin d’y apporter une réponse adéquate.
Les spécificités des adolescents, leurs modes de consommation des produits, nécessitent de la part des soignants une remise à niveau permanente de leurs connaissances afin d’adapter leur prise en charge à cette population.
En littérature, le genre des « mémoires » met au premier plan l’écriture du souvenir, une écriture qui sait faire avec l’oubli. Illustrations avec L’enfant de Jules Vallès et La vie d’Henry Brulard de Stendhal.
Pharmacothérapie et syndrome de sevrage
L’abord des manifestations psychopathologiques liées au travail ainsi que le soutien à la construction de la santé mentale relèvent d’une approche clinique particulière spécifique du métier de médecin du travail. Finesse et oeil clinique avisé sont autant de compétences mises en évidence à travers cette histoire clinique.
Le travail qui pourrait et devrait être considéré comme un lieu de création et de maintien du lien social, un facteur de sublimation pour le sujet, accentue souvent l’angoisse et la déstructuration psychique. Le harcèlement moral devient un facteur important de risque de dépression et de suicide.
L’intérêt porté à la question du harcèlement moral au travail n’est pas un simple effet de mode. Il correspond à un malaise profond du monde du travail, constituant ainsi une préoccupation importante en termes de santé publique.
Il n’est pas besoin de se précipiter sur la pharmacologie pour traiter l’insomnie chronique. Les méthodes proposées dans cet article procèdent du bon sens le plus fondamental mais ne sont efficaces que si elles sont appliquées de manière rigoureuse et contrôlées et ce, tout au long de la prise en charge.