Durant la pandémie de covid-19, l’hôpital de jour (HDJ) de l’unité de réhabilitation psychosociale du Service de psychiatrie communautaire (PCO) du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) a dû fermer ses portes. Ses activités thérapeutiques, jugées non essentielles, ont été supprimées au profit d’entretiens par visioconférence ou dans la communauté, comme le permettait le confinement partiel en Suisse. Dans ce contexte, l’équipe soignante craignait que l’état de santé des patients les plus vulnérables ne s’aggrave et que la stigmatisation qu’ils subissent ne les éloigne encore davantage des soins.
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