Les actes médico-légaux sont relativement fréquents chez les patients atteints de trouble bipolaire (TB) : 30 % d’entre eux auraient ainsi des antécédents judiciaires (1). L’état maniaque, avec sa levée des inhibitions, l’engagement excessif dans des activités plaisantes à risque élevé de conséquences dommageables et l’hypersexualité, peut en effet exposer à des infractions ou violences envers autrui. Cette relation entre épisode maniaque et complications médico-légales apparaît cependant complexe et multifactorielle (2).
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