Maladies, accidents, décès font partie des aléas de la vie. Personne n’en est à l’abri et personne ne peut les prévoir. Mais il est, en revanche, possible d’anticiper certaines des conséquences de ces évènements graves qui bouleversent le quotidien.
En tant qu’agent de la fonction publique hospitalière, vous bénéficiez d’un régime de protection sociale qui est propre à votre statut. Ce régime de base vous confère un certain niveau de couverture mais qui n’est pas toujours suffisant pour vous permettre, vous ou vos proches, de faire face en cas de coup dur
Alors quels sont les risques sur lesquels vous vous devez d’être prévoyant pour mieux vous protéger et mieux protéger votre famille ?
– Un arrêt de travail, une invalidité : lorsqu’un souci de santé engendre une incapacité temporaire, voire permanente à exercer vos missions d’agent hospitalier, il est prévu que l’employeur public puisse prendre en charge une partie du traitement. Mais ce relais n’est pas total. Congé maladie et invalidité sont synonymes de perte de revenus.
Pour en savoir plus sur les congés maladie et l’indemnisation prévue, consultez notre page sur le maintien de vos revenus
– Les accidents du quotidien : les blessures, fractures, brulures qui surviennent à la maison ou lors de la pratique d’un loisir peuvent engendrer de graves conséquences sur la santé, la forme physique, et également générer des dépenses importantes et non prévues (convalescence, adaptation du domicile…). Ces accidents sont très rarement pris en charge par les assurances. Ceux qui en sont victimes, ainsi que leurs familles doivent alors assumer seuls.
Découvrir QUIEM, la protection au quotidien
– Le décès : en cas de disparition prématurée d’un agent hospitalier, le régime obligatoire prévoit le versement d’un capital dont le montant sera différent selon que le décès est intervenu avant ou après l’âge légal de départ à la retraite. Et ce montant peut être majoré si les enfants sont toujours à charge. Dans tous les cas, ce qui est versé est totalement insuffisant pour permettre à la famille d’assumer le quotidien avec un salaire en moins.
Pour connaître les montants prévus et les conditions, cliquez ici
– La perte d’autonomie : risque lié au vieillissement de la population mais pouvant aussi survenir suite à un accident, une maladie grave, la dépendance nécessite des budgets très importants pour rester à domicile ou être hébergé en établissement spécialisé. Une aide est prévue par l’état mais ne couvre que très partiellement les quelques 2000 à 3000 € qui sont à financer chaque mois.