Back to the patient, l’informatique dans les soins
Le projet Back to the patient vise à rendre disponible sur tablette et téléphone portable des outils cliniques (TIPP, ELADEB, EEEP…) dans une perspective de rétablissement et d’empowerment.
Le projet Back to the patient vise à rendre disponible sur tablette et téléphone portable des outils cliniques (TIPP, ELADEB, EEEP…) dans une perspective de rétablissement et d’empowerment.
Jouer s’inscrit au fondement même de l’activité psychique. Respecter ce principe entraîne des conséquences dans l’organisation des soins en psychiatrie, alors que la psychopathologie enseigne l’impossibilité radicale pour certains patients d’accéder à la figuration et à la symbolisation.
Concept nomade, le jeu mobilise la plupart des champs issus des sciences humaines. Action libre, fictive qui absorbe totalement le joueur, le jeu suscite un remaniement psychique (favorisé par ses règles) ainsi que des relations de groupe.
Traiter l’agitation sans recourir de façon systématique à la contention ou à l’isolement nécessite parfois du sur-mesure. L’Unité de soins intensifs en psychiatrie (Usip) propose des outils spécifiques et une présence soignante renforcée. Présentation de l’Usip de Caen.
À partir d’une recherche en soins sur le travail informel, quatre grandes fonctions peuvent être repérées, où s’affirme le rôle de l’équipe. Une approche rigoureuse qui rend ainsi visibles les
contributions collectives au soin.
Chaque membre de l’équipe doit bénéficier des outils de gestion ou du moins de leurs effets, et c’est au cadre de santé, dans un contexte de mutations majeures, de piloter l’action collective.
Le groupe « Estime de soi et affirmation de soi » propose à des patients de prendre conscience de leurs difficultés dans leurs rapports aux autres et de découvrir des outils pratiques. Illustration avec le cas d’une patiente souffrant de dépression et d’alcoolisme.
Un nouveau pôle psychiatrique privé est en projet au Chateau de Caradoc au cœur de Bayonne pour 2016. Il regroupera deux établissements, la clinique Cantegrit …
Les patients en psychiatrie ont-ils besoin d’être « psychoéduqués » ? Le Groupe information asiles (GIA), association de « psychiatrisés », dénonce la toute-puissance de l’institution et
milite pour une psychiatrie au service du patient, dans une relation symétrique.
À partir d’une approche sensori-motrice, un atelier
thérapeutique propose à de jeunes patients de « laisser des
empreintes ». Une relation se noue au fil des séances,
entretenue par des jardiniers «arroseurs du quotidien ».