Ne pas se préparer au premier entretien ?
Lors d’une première rencontre, à rebours des pratiques contemporaines, le soignant peut considérer le patient (l’inconnu, l’étranger) comme une présence unique et non comme une …
Lors d’une première rencontre, à rebours des pratiques contemporaines, le soignant peut considérer le patient (l’inconnu, l’étranger) comme une présence unique et non comme une …
Après une première décompensation psychotique, Laura, 24 ans, accepte d’être accompagnée au sein d’un centre dédié au rétablissement. Un suivi attentif l’aide progressivement à s’ancrer « sur la terre ferme » et à investir ses choix de vie.
En se dégageant d’une vision déterministe, conceptualiser l’attachement comme une variable d’ajustement relationnel offre des perspectives différentes, beaucoup moins figées, sur le développement socio-affectif. Repères et évolutions théoriques.
Dans les soins infirmiers, la rencontre a ses contours, entre mots et silence. L’initiative part du soignant, qui fait un effort pour créer du lien et restaurer quelque chose. Si elle ne s’improvise pas, surtout dans la souffrance psychique, elle conserve toujours une part de mystère.
Dans ce foyer pour personnes « réputées autistes », la rencontre est inversée. Le soignant n’exige rien, il est là pour et avec les autres. À rebours de pratiques protocolisées, il s’adapte au rythme de chacun.
Si la première rencontre soignant patient est déterminante pour la suite des soins, quels en sont les ingrédients? L’analyse conversationnelle met en évidence que la manière d’interagir et de se présenter à l’autre crée d’emblée les conditions favorables au lien et au travail thérapeutique.
À la fois effet et objet du travail, les émotions, autrefois proscrites dans le contexte professionnel, sont aujourd’hui prescrites, au risque de discours construits à distance du travail réel et de ses contraintes.
Si la notion d’estime de soi relève davantage de la psychologie et celle de narcissisme plutôt de la psychanalyse, leur proximité apparente conduit à s’interroger sur leurs relations.
À la différence d’un animal, qui renonce lorsque ses intérêts vitaux sont menacés, l’être humain est capable de s’entêter dans des comportements manifestement nocifs pour lui, jusqu’à s’enliser dans les pires impasses. Explications avec
la théorie du jeu.
Pourquoi est-ce si complexe de mettre en oeuvre le partenariat avec les usagers ?…
Parmi les résistances, la recherche repère les asymétries de pouvoir professionnels-patients, des raisons structurelles et certains modèles de participation porteurs de transformations partielles.