Une vie qui a du sens
Véronique, qui affronte son troisième épisode dépressif, intègre le groupe de psychoéducation
Envie, basé sur la thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT), et aperçoit enfin « la lumière au bout du tunnel ».
Véronique, qui affronte son troisième épisode dépressif, intègre le groupe de psychoéducation
Envie, basé sur la thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT), et aperçoit enfin « la lumière au bout du tunnel ».
Une thérapie de groupe de pleine conscience, complétée par une TCC individuelle, est proposée à Monsieur M., qui consulte pour une forte anxiété et des douleurs chroniques. Au fil des séances, il identifie ses schémas de pensées et reprend confiance en lui.
Depuis plus de dix ans, l’équipe soignante du Service des spécialités psychiatriques des Hôpitaux universitaires de Genève propose aux patients des groupes basés sur la Mindfulness. Comment se déroule une séance ? Comment intégrer cette pratique aux soins ?
Cinq patients souffrant de schizophrénie participent à un groupe de psychodrame psychanalytique, ce qui leur permet de « se voir » différemment et de modifier leur rapport à l’autre. Lorsque surgit l’humour, les bénéfices de l’atelier paraissent potentialisés.
Les sujets addicts sexuels présentent une structure cognitive particulière. Le CHU de Nantes propose un programme groupal de thérapie cognitivo-comportementale centré sur ce comportement addictif sexuel et les cognitions associées.
L’équipe d’un hôpital de jour propose à Christophe, un patient alcoolodépendant, de participer à un programme de Mindfulness. Cette pratique de l’attention et de l’acceptation lui permet de mieux gérer ses émotions pour prévenir la rechute.
Une équipe soignante a créé Team’agine, un jeu de cartes basé sur des mises en situation. Michel, un patient qui souffre de troubles schizo-affectifs avec un vécu persécutoire, découvre le plaisir d’interpréter un personnage et porte une attention nouvelle aux autres.
Chez les patients souffrant de troubles bipolaires, l’estime de soi fluctue massivement en fonction des épisodes, avec souvent la persistance d’un niveau bas en phase euthymique. Un travail de groupe permet à Marie d’améliorer son niveau d’estime de soi.