Perte d’autonomie : dans quels lieux vieillir ?
Les trois-quarts des Français ne souhaitent pas vivre en institution en cas de perte d’autonomie, et seuls 19 % envisageraient cette option pour un proche. Par …
Les trois-quarts des Français ne souhaitent pas vivre en institution en cas de perte d’autonomie, et seuls 19 % envisageraient cette option pour un proche. Par …
Cette formation de 2 jours approfondit la notion de vieillissement chez les personnes handicapées mentales et explore les pratiques d’accompagnement adaptées pour améliorer leur qualité …
En 2022, 3 % à 8 % des personnes âgées de 60 ans ou plus vivant à leur domicile sont en perte d’autonomie, en recul …
Chez l’âgé, lorsque les performances s’amenuisent et que des troubles cognitifs ou une maladie neurodégénérative s’installent, le besoin de rester lié s’intensifie. Comment comprendre et répondre à ses demandes d’interactions tardives ?
Penser la vie de la personne âgée en termes d’attachement permet de mieux comprendre ses besoins et de réfléchir à la manière d’y répondre en ayant le souci de s’appuyer sur une base sécure. Grâce à un questionnaire adapté au sujet âgé, les soignants peuvent explorer la vie psychique.
Le grand âge confronte à de multiples pertes, qui revêtent deux formes cliniques majeures, l’angoisse et la dépression. Lorsqu’une perte sévère atteint la pensée symbolique, la relance par l’affect reste possible, impliquant alors l’entourage sur le mode de la suppléance.
Chez la personne âgée, la chute est un événement physique redouté, marqueur de vulnérabilité et de dépendance. Si elle inflige une blessure au corps autant qu’à la psyché, elle peut aussi constituer une ouverture sur le travail psychique du vieillir.
Rose, 99 ans, et Gaston, 100 ans, ont formé toute leur vie un couple équilibré. Mais aujourd’hui, le vieil homme veut entrer en institution et son épouse s’y refuse absolument. Une prise en charge de type guidance familiale permet de décrypter le conflit et la dynamique à l’œuvre.
Le massage des mains est une occasion privilégiée de soin qui s’appuie sur les ressources émotionnelles du bénéficiaire. Toucher vaut parfois mieux que parler pour accompagner la souffrance et soulager l’anxiété d’une personne âgée souffrant de démence. Cette pratique nécessite un cadre de soin rassurant, posé en équipe, pour limiter le risque d’intrusion.
Dans le cadre de l’élaboration de la stratégie de lutte contre les maltraitances, cette enquête du CREDOC commandée à l’automne dernier par le ministre des …