« Trouve ton équilibre ! »
Ce programme d’éducation thérapeutique du patient propose aux patients souffrant de trouble de la personnalité borderline de cheminer progressivement, en 31 séances répartis en trois …
Ce programme d’éducation thérapeutique du patient propose aux patients souffrant de trouble de la personnalité borderline de cheminer progressivement, en 31 séances répartis en trois …
Comprendre les rouages de la pensée du sujet paranoïaque permet d’éviter de s’enliser dans un face-à-face stérile. Ainsi, vouloir « prouver » au patient qu’il délire en le confrontant à la réalité est aussi improductif que dangereux pour la relation de soin.
Le paranoïa représente et incarne un réel risque de passage à l’acte violent. Le soignant confronté à ce type de problématique doit bien connaître cette clinique particulière et évaluer de manière pertinente et précoce les facteurs de risque.
En psychiatrie, on peut adopter différentes stratégies pour proposer de l’éducation thérapeutique à un patient dans le déni. Au préalable, le soignant devra explorer finement le contenu et le degré de ce déni.
L’accompagnement vers le logement d’une personne souffrant de schizophrénie suppose de bien déterminer en amont ses ressources et ses faiblesses, en fonction du retentissement de la maladie sur son fonctionnement quotidien. La psychométrie peut apporter une aide précieuse.
Les notions d’attitude ou de croyance des patients vis-à-vis des psychotropes apparaissent comme des variables prédictives
particulièrement pertinentes dans l’identification des comportements de mauvaise observance et dans l’orientation d’interventions psychosociales.
Une équipe mobile de soins intensifs accompagne pendant deux ans Karim, un jeune patient victime d’un premier épisode psychotique. Un suivi intensif, personnalisé, d’emblée ouvert sur le rétablissement
et l’autonomie du patient.
M. V., la trentaine, se plaint de nombreux troubles cognitifs qui impactent lourdement sa vie quotidienne. Un centre expert schizophrénie réalise un bilan neuropsychologique qui permet de préciser le diagnostic et de dégager des pistes de prises en charge.
Pierre, 21 ans, souffre de schizophrénie et de troubles cognitifs et fonctionnels. Afin de garantir les meilleures chances de rétablissement, sa prise en charge combine traitement médicamenteux, psychoéducation, remédiation cognitive et entretiens infirmiers.
Si, dans les phases aiguës de la schizophrénie, l’injection d’antipsychotique représente une capitulation, le sujet qui se rétablit apprend à en faire un outil de routine au service de la reconstruction de soi et de lutte pour la normalité.