Les premiers contacts en psychomotricité
Dès le premier contact, une lecture se dégage : une odeur, une vibration, un tonus, une posture, une attitude, une démarche, une expression faciale… sont autant …
Dès le premier contact, une lecture se dégage : une odeur, une vibration, un tonus, une posture, une attitude, une démarche, une expression faciale… sont autant …
À l’ère des pratiques de soin évaluables et fondées sur des preuves, la question des activités occupationnelles est devenue impensable. Pourtant, les ergothérapeutes ont fait de ce mot tabou le centre de leur identité. Que faire, ensemble, de ce paradoxe ? Éclaircissements.
Après une première décompensation psychotique, Laura, 24 ans, accepte d’être accompagnée au sein d’un centre dédié au rétablissement. Un suivi attentif l’aide progressivement à s’ancrer « sur la terre ferme » et à investir ses choix de vie.
Comment le soignant peut-il communiquer au patient qu’il est à l’écoute ? Savoir rebondir et reformuler sont des outils indispensables de l’entretien psychothérapeutique.
Formel ou informel, chaque entretien est défini par un cadre qui sert de repère aux deux interlocuteurs, chacun étant cocréateur de la séquence. Repères sur ses éléments variables : objectifs et contenus, modalités de déroulement et interactions, lieu, durée et fréquence…
Etablir des liens significatifs avec un patient délirant nécessite de lui permettre d’exprimer son délire. Dans ce contexte, est-ce utile, sensé, de planifier des entretiens et pourquoi faire ? Témoignage.
Relaxation et hypnose thérapeutique ont des racines communes. Quels sont leurs différences et leurs similitudes ? Qu’est-ce qui les particularise et oriente l’indication thérapeutique vers l’une ou l’autre ?
Au quotidien, comment « gérer » les frustrations des patients, lorsqu’elles sont en lien avec les limites imposées par le cadre de soin ? Histoire d’une unité de soin qui a su se remettre en question et réinventer ses pratiques pour laisser place à la rencontre.
Tolérer la frustration suppose d’être en capacité de renoncer à la satisfaction immédiate de certains désirs, ce qui ne se fait pas sans une forme de compensation. Pourquoi de nombreux patients en psychiatrie n’y parviennent-ils pas et comment les aider ? Illustrations cliniques.
Agité, angoissé, parfois jusqu’au débordement, intarissable, décalé, toujours en retard… Sami, 28 ans, salarié en Esat, épuise ses collègues et l’équipe encadrante. Admis au CATTP un après-midi par semaine, il s’apaise, se « dénoue » et trouve progressivement sa place.