3 numéros consacrés au corps pour 59 € au lieu de 70 € en papier et 56 € au lieu de 67 € en numérique.
N° 262
Activités physiques en psychiatrie
N° 274
Agitation : comment s'adresser au corps ?
N° 282
La relaxation, entre détente et thérapie
3 numéros consacrés au corps pour 59 € au lieu de 70 € en papier et 56 € au lieu de 67 € en numérique.
N° 262
Activités physiques en psychiatrie
N° 274
Agitation : comment s'adresser au corps ?
N° 282
La relaxation, entre détente et thérapie
La relaxation fait référence à des méthodes qui reposent sur des éléments théoriques et techniques différents. Elles utilisent des procédés variés (suggestion, respiration, focalisation de l’attention, mobilisation du corps, visualisation, verbalisation…) qui conduisent à des états de détente, d’apaisement, de présence ou au contraire de détachement, de conscience modifiée… Discipline à part entière, la relaxation thérapeutique nécessite une solide formation. Grands principes et partages d’expériences. Un dossier élaboré en partenariat avec Catherine Potel, psychomotricienne psychothérapeute.
Les pathologies psychiatriques s’expriment massivement par le corps. Comment fait-il signe ? Différents outils théoriques peuvent être mobilisés et diverses approches thérapeutiques engagées. Par ailleurs, la question du corps en psychiatrie ne se limite pas à celui du patient. Quelle place pour le corps du soignant dans la dynamique de soin ? Qu’il s’agisse de contenir et d’apaiser dans l’urgence ou de proposer des soins psychocorporels réguliers, comment fixer un cadre thérapeutique permettant au patient de retrouver un ancrage perdu et bouleversé ?
Les bénéfices d’une activité physique régulière sont aujourd’hui reconnus pour les personnes souffrant de troubles psychiques, en termes de rétablissement et de prévention des maladies somatiques. En pratique, les patients doivent néanmoins faire face à plusieurs obstacles : des symptômes qui les freinent, des traitements parfois lourds d’effets secondaires, des difficultés sociales… S’adresser au corps demeure alors toujours pour les soignants une tâche délicate, qui nécessite de solides repères théoriques et la collaboration avec des professionnels du sport.