
Acheter un article

Les troubles du sommeil, particulièrement les insomnies et les cauchemars, touchent plus de la moitié des enfants et adolescents un an après un traumatisme. Ils constituent un facteur de maintien et de chronicisation des symptômes sur lesquels il est possible d’agir.
En psychiatrie, la nuit ravive l’angoisse et la solitude… Une infirmière, « veilleuse de nuit », profite de cet espace-temps suspendu, propice à la rencontre, pour accompagner les patients vers le sommeil.
« J’ai soif », « j’ai mal au ventre », « j’ai peur du noir »… Depuis la naissance de sa petite sœur, Adèle, 4 ans, réveille ses parents plusieurs fois par nuit. Exténués, ils finissent pourtant par trouver une solution…
Les Français dorment de moins en moins, et de plus en plus mal. Surfant sur leur plainte, le marché du « mieux dormir » se développe. Que révèlent ces tendances ? De quoi sommes-nous si « fatigués » ?
Suivie au CMP pour un syndrome anxiodépressif, Marie, 33 ans, se plaint d’un mauvais sommeil, en lien avec de fortes angoisses au moment du coucher. Un infirmier déploie différentes interventions psychoéducatives et des médiations pour l’aider à stabiliser son état émotionnel.
Parfois mal considérés, les médicaments hypnotiques ont leur place dans la prise en charge du trouble insomnie, associés au traitement de première intention, les thérapies comportementales et cognitives (TCC). Mode d’action et règles pour une prescription éclairée et adaptée.
Le sommeil est une fonction physiologique et comportementale à laquelle la psychiatrie doit s’intéresser de près. Plus largement, il est essentiel de prendre soin collectivement de la santé du sommeil.
Des connaissances récentes ont fait évoluer le regard sur le trouble insomnie. La prise en compte des comorbidités, en particulier psychiatriques, est essentielle pour élaborer des propositions thérapeutiques adaptées et individualisées.
Depuis sa formation jusqu’à sa prise de fonction, un infirmier en pratique avancée revient sur son implantation au sein d’un centre médico-psychologique dans un territoire rural où l’accès aux soins est particulièrement tendu.
En psychiatrie, l’injection intramusculaire (IM) est un soin courant. On observe cependant une grande variété de pratiques et une méconnaissance de certains aspects techniques mais aussi relationnels. Une étude a permis d’élaborer des recommandations.