Une évaluation de la consommations de cocaïne devrait être systématiquement réalisée dans le cadre d’une prise en charge psychiatrique. Le point sur les associations avec les pathologies les plus fréquentes et les conduites à tenir.
Dans le contexte général d’augmentation exponentielle de la consommation de cocaïne en France, l’évaluation des troubles psychiatriques associés à cet usage n’est plus réservée aux professionnels des structures de soins addictologiques. Tous les soignants exerçant en psychiatrie, que ce soit aux urgences, en hospitalisation, en liaison ou en consultation, rencontreront dans leur exercice des patients qui présentent au premier plan une plainte de santé mentale pour laquelle l’association avec l’usage de cocaïne sera présente. De ce fait, l’évaluation systématique des usages de substances pour tous les patients devient encore plus nécessaire.
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