Les politiques de santé publique tendent à s’appuyer sur des données issues de la recherche quantitative et qualitative. Pourtant, leurs orientations n’ont pas toujours l’effet escompté en termes de changement de pratiques de soin et d’amélioration de la santé de la population. Ainsi, nombre de recommandations de bonnes pratiques, de notes de service et de formation des professionnels ne sont jamais mises en œuvre sur le terrain. Pourquoi ? L’investissement nécessaire à un changement global, effectif et durable est en réalité freiné par de nombreuses croyances : la formation à un outil mènerait à son utilisation ; les méthodes efficaces se diffuseraient par elles-mêmes, l’information suffirait à provoquer le changement…
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