Dans un contexte en tension, l’institution psychiatrique perd parfois sa finalité thérapeutique, surtout lorsqu’elle se frotte à la psychose. Les programmes spécialisés, les protocoles, au demeurant très utiles, font miroiter des perspectives universelles mais laissent sur le chemin nombre de patients notamment psychotiques. Par ailleurs, l’approche « sécuritaire » s’impose trop souvent, au détriment du soin. Quelle organisation promouvoir pour garder vivante et opérante la dimension thérapeutique ?
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