• Vous êtes un des rares infirmiers français engagé dans un travail de recherche de doctorat. Quel a été votre parcours et qu’est-ce qui a motivé votre engagement dans la recherche ?
En 2022, le nombre de doctorants infirmiers reste effectivement relativement modeste en France. Malgré tout, il est de moins en moins rare de trouver des soignants engagés dans des parcours académiques de ce niveau. En revanche, ce qui pose question, c’est de constater que ces études sont menées majoritairement dans le champ des sciences de l’éducation et non celui des sciences infirmières. Dans ce contexte, mon parcours est plus singulier avec un travail de thèse réalisé en sciences infirmières à l’université d’Ottawa (Canada).