La Fondation Adrienne et Pierre Sommer organise chaque année depuis 2009 le Prix Marie-Claude Lebret (fondatrice de l’association Handi’Chiens) ouvert aux étudiants, futurs travailleurs sociaux, éducateurs, infirmiers, kinésithérapeutes, psychomotriciens, orthophonistes, ergothérapeutes. Cette année, ce sont quatre lauréates qui se sont vues récompensées et pour la première fois, deux psychomotriciennes ont emporté ces prix.
Marie Béout, dont le mémoire de fin d’études présenté à l’Institut de Formation en Pyschomotricité Les Mureaux traite de « l’apport de la thérapie canine sur la communication non-verbale d’adultes atteints du trouble du spectre autistique ».
Vanessa Cecchetti, dont le mémoire présenté à l’Institut de Formation Public Varois des Professions de santé a pour thème « Un chien et un cheval pour appuis : médiation animale, tonus et émotions en psychomotricité ».
Les deux autres lauréates du prix 2017 Marie-Claude Lebret de la Fondation Sommer sont respectivement éducatrice spécialisée de la Protection Judiciaire de la Jeunesse et ergothérapeute.
Isabelle Delahaye, de l’Ecole Nationale de la Protection Judiciaire de la Jeunesse à Lille, pour son mémoire de validation professionnelle a choisi d’intituler son travail « Ce chien entre nous (la médiation canine comme levier de la relation éducative et du développement émotionnel) ».
Natalie Kolarick, pour l’Institut de Formation en Ergothérapie de Montpellier a présenté son mémoire d’initiation à la recherche sur le thème : « Ergothérapie et thérapie médiatisée par l’animal : quelle influence sur l’engagement des personnes atteintes de troubles neurocognitifs dus à la maladie d’Alzheimer ? »
Vous pouvez participer au prix Marie-Claude Lebret 2018 de la Fondation et essayer de remporter l’un des 3 prix d’une valeur de 1 000 €.Les mémoires des lauréats rejoindront également notre centre de documentation.
La Fondation Adrienne et Pierre Sommer est une organisation à but non lucratif, privée et indépendante, qui soutient le développement de pratiques fondées sur les interactions positives qui se jouent entre l’homme et l’animal qui lui est proche, pour explorer des voies nouvelles et mettre à jour des solutions inédites, pour le mieux-être et l’intégration des plus vulnérables : enfants ou adultes fragilisés par la maladie ou le handicap, jeunes en errance, détenus en réinsertion, personnes âgées dépendantes…
