Selon un arrêté du ministère des Solidarités et de la Santé, les personnes porteuses du VIH ou d'une hépatite pourront désormais recevoir des soins funéraires de conservation des corps, ce qui leur était interdit depuis 1986. Ce texte, qui dresse la liste des infections imposant une mise en bière immédiate du corps, ne comprend plus le VIH et l'hépatite.
La levée de cette interdiction était réclamée de longue date par les associations de lutte contre le sida, notamment Act-Up. Elle prendra effet le 1er janvier 2018.