Cette étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) apporte un éclairage sur la santé physique et psychique des personnes sans domicile, qui se déclarent moins fréquemment en bonne santé que l’ensemble de la population, bien qu’elles soient en moyenne plus jeunes. Seule la moitié d’entre elles se considèrent en « bonne » ou en « très bonne » santé, contre 69 % dans l’ensemble de la population.
- Problèmes dentaires, tabac, dépression : la santé précaire des sans-domcile, n° 932, sept. 2015