Son travail de thèse intitulé «Remédiation cognitive et schizophrénie » souligne qu’il est possible d’améliorer le quotidien des patients souffrant de schizophrénie par un entraînement répétitif, six mois durant, de certains exercices. Les images prises du cerveau du patient en train d’exécuter une tâche de planification montrent qu’il mobilise des réseaux de neurones plus nombreux que chez une personne normale et qu’il en désactive d’autres de façon à mieux résister à la distraction, arrivant ainsi à mieux allouer les ressources (cognitives) nécessaires à la tâche proposée.
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