04/01/2016

La plainte banale : une recette éternelle ?

FacebookTwitterLinkedInEmail

« Tout va bien, ça ne peut pas durer »; « C'est trop beau pour être vrai »… L'appétit de plainte est vif parfois dans notre société, malgré ses tendances hédonistes affichées… et certaines personnes font de la plainte «banale» un mode de vie, une façon d'être au monde : ils s'en abreuvent, s'en nourrissent. Elle persiste, au fil des époques, en se différenciant de la mélancolie comme de la dépression.

Psychiatre, docteur en philosophie, Armelle Grenouilloux analyse cette plainte et montre comment la psychiatrie l'a envisagée de différentes façons. Elle propose de regarder la fonction de cette plainte, permettant un pas de côté.

Ce texte a fait l'objet d'une communication aux Rencontres de Sophie 2015, organisées par l'association Philosophia.