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Il importe moins de savoir si tel ou tel ensemble de régions du cerveau «explique la schizophrénie » ou « les hallucinations », que de décrire les ensembles de régions modulant une fonction cognitive élémentaire dont l’altération est liée à la présence de symptômes psychopathologiques. Paradoxalement, c’est peut-être dans le domaine des hallucinations où l’on attendait le moins d’apports thérapeutiques, tant elles paraissent empruntes de subjectivité, que des espoirs d’innovation à court terme sont ouverts grâce aux connaissances nouvelles issues de l’imagerie du fonctionnement cérébral. Et l’on peut entrevoir, non pas des apports de la psychopharmacologie, mais un raffinement des techniques électrophysiologiques.
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