« Droit à disposer de son corps », « Rien sur nous sans nous » constituent deux mots d’ordre qui devraient être mobilisés systématiquement dans la prise en charge des personnes souffrant de troubles psychiques. Qu’en est-il en pratique ? Comment s’appliquent ces paradigmes lorsqu’une personne souffrant de troubles psychiques se présente aux urgences en crise ? Qu’en est-il de l’écoute des souhaits des personnes concernées en psychiatrie et en santé mentale ? Comment les prendre en compte dans les moments de décompensations aiguës où le consentement peut être altéré ? Les directives anticipées psychiatriques constituent une piste prometteuse pour engager une relation partenariale dans les soins, en urgence comme en soins courants.
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