L’attention portée aux récentes observations critiques formulées sur ces pratiques par diverses autorités est mobilisatrice. Elle nous invite à repenser sans cesse ce qui fait le soin en psychiatrie et qui l’accompagne parfois pour des raisons de protection et de sécurité. Ces mesures de dernier recours ne doivent pas compromettre le soin, car elles sont vite contre-productives. Il nous appartient, en tant que soignants en psychiatrie, de réduire leur usage et de penser leur mise en pratique.
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