04/05/2016

Quel avenir pour le penfluridol ?

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Alors que le penfluridol (Semap®, Acemap®) fête ses 45 ans d'existence, les soignants en santé mentale ne savent plus trop s’il est encore vivant ou mort et enterré… Concurrencé par l'apparition sur le marché de plusieurs antipsychotiques de seconde génération à action prolongée par voie injectable, cet antipsychotique a été un temps introuvable en France. Le penfluridol, qui a une demi-vie d’élimination de 4 à 10 jours, peut s'administrer en une seule prise hebdomadaire.

Cet article est la première action de communication du Comité Penfluridol France et du Réseau PIC. Il retrace l'histoire du produit et ses atouts : «

Bien toléré, envisageable pendant la grossesse, d’un prix plus que raisonnable, il peut devenir la troisième voie thérapeutique, et permettre au patient de mieux adhérer à son traitement. Le style collaboratif qu’il permet de donner à la prise en charge en fait un produit “moderne” ».

Frédéric SCHEIDER, Psychiatre praticien hospitalier, Equipe mobile de psychiatrie, Unité de réhabilitation, CHU Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, Comité Penfluridol France
Sophie DIZET, Pharmacien hospitalier, CHS de Sevrey, Réseau PIC
Chien Tzu WU, Psychiatre praticien attaché associé, CH Jean-Martin Charcot
Frédérique MONTHEZIN, Psychiatre praticien hospitalier, SMPR, CH de Montéran, Guadeloupe
Patrick BASARD, Psychiatre praticien hospitalier, Chef du Pôle 78 G12, CH Jean-Martin Charcot, Comité Penfluridol France
Nicole NATHOU, Psychiatre praticien hospitalier, Chef de pôle de psychiatrie adulte, CHU Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, Comité Penfluridol France

Contact : Sophie DIZET, Pharmacien hospitalier, 03 85 92 84 06, sophie.dizet@ch-sevrey.fr